A l'occasion de la livraison d'une nouvelle tiny house, nous avons accueilli dans notre atelier les journalistes du journal la Gazette.
La visite à donné un un article dans la gazette du 30 Novembre. Comme vous pouvez le voir sur l'image, Frédéric était en pleine finition d'une micromaison réalisée sur mesure pour nos clients.
La tiny house ATEN 560 a rejoint Matthias et Laurence , ses propriétaires en Suisse.
Article :
Depuis que la première tiny house a poussé en France, quelques entreprises se sont spécialisées dans ce type de construction. Elles se comptent sur les doigts d'une main et l'un d'entre elles est basée dans le Livradois Forez, au Monestier.
La première tiny house de Frédéric Bérard a quitté le nid en 2015. Avant elle, deux autres ont bu le jour, mais elles n'ont pas été commercialisées. Après elle, plusieurs petites soeurs ont pris les routes de France.
Charpentier-ébéniste de profession, Frédéric Bérard s'est intéressé aux tiny houses il y a quelques années pour diversifier son activité. Et pour subvenir à un besoin personnel." Notre fils est porteur d'un handicap, lorsque nous partions en vacances, nous avions besoin de partir avec notre maison. L'idée de la tiny house correspondait à nos attentes " détaille Agnès Bérard, épouse de Frédéric.
Aujourd'hui, la construction e tiny house représente l'activité principale de l'artisan. Une minuscule maison après l'autre, il fabrique du sur-mesure pour ses clients. Avec une finesse et une précision admirable. Tiny house concept, l'entreprise du Monestier, commence à se faire un nom dans le monde de l'habitat léger et les challenges sont de plus en plus intéressants
De beaux projets à venir.
Après l’actuelle tiny en construction, destinée à partir en Suisse, Frédéric Bérard va travailler sur un projet de deux tiny house raccordées. " Nous avons de plus en plus de demandes. Les gens ont envie de vivre plus sainement, de moins consommer" reconnait l'ébéniste.
Et en ce qui concerne l'idée de vitre plus sainement, avec tiny house concept , le mot est faible. Frédéric Bérard s'attache à choisir des matières premières les plus respectueuses de l'environnement possible. Il va même jusqu'à utiliser du scotch écologique. Et lorsqu’il le peut, Frédéric Bérard se fournit au niveau local.
" Mon électricien et mon plombier viennent du territoire. Pour les remorques, elles sont fabriquées à Grenoble. j'avais proposé le marché à une entreprise d'Ambert, mais ça n'a pas fonctionné" précise Frédéric Bérard.
Du coté d'Ambert, le savoir faire sait se faire une place au soleil
S.D. / La Gazette